Du sang clair sur le sable chaud...
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Du sang clair sur le sable chaud...
Et nous voila de nouveau chers auditeurs en direct de l'antiquité, pour une rencontre décisive sur un coin paumé que même les cartes du légendaire Thébomonfis n'ont pas été foutues de retrouver, tout ce quo'n sait, c'est que ça ressemblait à une grosse plage, la mer en moins, avec une grosse construction en caillasse.
Timide reprise de fin de vacances donc, avec les Perses d'Olivius auxquels j'opposais une liste thébaine, menée par Ethal Boukidépass. Avec à la mi-temps la visite de David P. venu nous recompléter en munitions , arborant la mine réjouie et pas rasée du permissionnaire !
Bataille rangée classique, en 3000pts AoA V2.
Après déploiement, je m'attribue somptueusement 9 points d'oracle, et le coup d'envoi, les Dieux étaient avec Thèbes !
Et c'est là que ça a commencé à merder...
Je jette toutes mes forces en avant, mes fringantes cavaleries effectuant ma célèbre tactique des "Cuisses de la Ribaude", désormais enseignée à West Point et aussi à l'école militaire de Chèvrecujol, et ma tempête de tirs sur les javeliniers perses en éborgne un !
Olivier lui, ne bouge que ses Scytes qui me vaporisent la moitié de mes tirailleurs à moi, tandis que son pavé combiné me fait louper deux sauvegardes sur ma cavalerie d'élite. Ses Mardians prennant cible les tirailleurs à arcs courts qui leur font face et dans une magistrale leçon de maladresse acquise sans doute auprès de mes propres tireurs ne m'en épinglent que deux.
Là, c'est l’hallali !
Alors que toute ma ligne continue laborieusement ses travaux d'approche, mon élite (bien) montée se rue sur le bloc combiné d'archers et de lanciers (qui lui prélève un nouveau tribu en tir de contre-charge), et bien qui lui occasionnant force pertes (3 ! Pour moi c'est un score !) en prend autant dans la gueule en réplique (je me demande pourquoi je donne des armures à mes troupes, chuis pas foutu d'en réussir une seule de ces satanées sauvegardes !)
Vu les bonus de l'infanterie, pas la peine de cramer des points d'oracle pour des blaireaux sur poneys pas foutus de percer du Perce, je les abandonne à leur lamentable sort; talonnés par les fantassins d'Oliver...
Dois-vraiment vous préciser que mes tirs furent aussi lamentables que mes corps à corps ? Salopards de dés vicieux qui me font des scores hors stats pour toucher, et l'inverse pour blesser ! Catin lubrique que Dame Chance, qui te montre sa salle de jeu avant de tourner au coin de la rue à la façon de la salope d'élevage de Bigard ! D'ailleurs, j'offre mes dés à toute personne possédant un concasseur, un incinérateur ou une cuve à acide en état de marche...
Timide reprise de fin de vacances donc, avec les Perses d'Olivius auxquels j'opposais une liste thébaine, menée par Ethal Boukidépass. Avec à la mi-temps la visite de David P. venu nous recompléter en munitions , arborant la mine réjouie et pas rasée du permissionnaire !
Bataille rangée classique, en 3000pts AoA V2.
Après déploiement, je m'attribue somptueusement 9 points d'oracle, et le coup d'envoi, les Dieux étaient avec Thèbes !
Et c'est là que ça a commencé à merder...
Je jette toutes mes forces en avant, mes fringantes cavaleries effectuant ma célèbre tactique des "Cuisses de la Ribaude", désormais enseignée à West Point et aussi à l'école militaire de Chèvrecujol, et ma tempête de tirs sur les javeliniers perses en éborgne un !
Olivier lui, ne bouge que ses Scytes qui me vaporisent la moitié de mes tirailleurs à moi, tandis que son pavé combiné me fait louper deux sauvegardes sur ma cavalerie d'élite. Ses Mardians prennant cible les tirailleurs à arcs courts qui leur font face et dans une magistrale leçon de maladresse acquise sans doute auprès de mes propres tireurs ne m'en épinglent que deux.
Là, c'est l’hallali !
Alors que toute ma ligne continue laborieusement ses travaux d'approche, mon élite (bien) montée se rue sur le bloc combiné d'archers et de lanciers (qui lui prélève un nouveau tribu en tir de contre-charge), et bien qui lui occasionnant force pertes (3 ! Pour moi c'est un score !) en prend autant dans la gueule en réplique (je me demande pourquoi je donne des armures à mes troupes, chuis pas foutu d'en réussir une seule de ces satanées sauvegardes !)
Vu les bonus de l'infanterie, pas la peine de cramer des points d'oracle pour des blaireaux sur poneys pas foutus de percer du Perce, je les abandonne à leur lamentable sort; talonnés par les fantassins d'Oliver...
Dois-vraiment vous préciser que mes tirs furent aussi lamentables que mes corps à corps ? Salopards de dés vicieux qui me font des scores hors stats pour toucher, et l'inverse pour blesser ! Catin lubrique que Dame Chance, qui te montre sa salle de jeu avant de tourner au coin de la rue à la façon de la salope d'élevage de Bigard ! D'ailleurs, j'offre mes dés à toute personne possédant un concasseur, un incinérateur ou une cuve à acide en état de marche...
Dernière édition par Cyrille (The boss !) le Sam 26 Avr 2014 - 12:06, édité 1 fois
Re: Du sang clair sur le sable chaud...
Bien entendu à son tour, Olivier charge mes cavaliers en fuite qui s'éparpillent au delà des tirailleurs qui avaient eu l'idée saugrenue de se rallier et se prennent le paventon barbu dans la poire !
Tirailleurs qui seront bien sur vaporisés ! Tandis que Mardians et balistes concentrent leurs tirs sur la phalange de jeunes éphèbes nus, miliciens issus des favelas de Thèbes et menés par Ethal Boukidépass himself.
Et je continue mon approche, ralliant des cavaliers diminués au ras de barbes de leur Némésis, mais plaçant enfin leur homologues à gauche en position de ravager tout le flanc droit Perse (mes adversaires qui sont toujours retors, s'obstinent à placer leur flanc droit en face de mon flanc gauche et inversement historie de me perturber stratégiquement, mais j'ai fini par piger le truc et je ne m’embrouille presque plus !)
Dois-je vraiment vous parler de ma phase de tir...
Et là, ce fourbe d’Olivier profite que je m'avance tactiquement pour le charger, pour m'agresser sauvagement, ses deux phalanges de vils mercenaires se jettent sur les miennes telle telle une bourgeoise de sous-préfecture sur le commis de l'épicier lui faisant livraison hebdomadaire !
Et continuant à assombrir le ciel de leurs flèches, les infâmes Perses continuent à s'en prendre à la phalange de miliciens...
Ces pauvres nudistes auraient bien chié dans leur froc mais ils n'en avaient pas ! Et, malgré un SMS envoyé en urgence aux gardiens des oracles, mon général ne sut tenir leurs rangs, bien clairsemés il faut le dire, à leur... décharge .
A mon centre droit, mon Xénagos, Yvath Mètharass défie le Polémarque renégat... las, il a à peine fini de prononcer les paroles rituelles que sa tête vole dans les airs et que ses entrailles lui dégoulinent sur les sandales... les mercenaires que j'ai du mal à qualifier de Grecs, doivent être de proches cousins de ma phalange que j'ai du mal à qualifier d'élite, car les deux parties de troupiers rivalisent de lamentabilité... Je crame un max de points d'oracle, mais ne peut mettre en déroute mon adversaire.
L'autre combat m'est favorable, mais là encore, les renégats tiennent leur rangs.
Tirailleurs qui seront bien sur vaporisés ! Tandis que Mardians et balistes concentrent leurs tirs sur la phalange de jeunes éphèbes nus, miliciens issus des favelas de Thèbes et menés par Ethal Boukidépass himself.
Et je continue mon approche, ralliant des cavaliers diminués au ras de barbes de leur Némésis, mais plaçant enfin leur homologues à gauche en position de ravager tout le flanc droit Perse (mes adversaires qui sont toujours retors, s'obstinent à placer leur flanc droit en face de mon flanc gauche et inversement historie de me perturber stratégiquement, mais j'ai fini par piger le truc et je ne m’embrouille presque plus !)
Dois-je vraiment vous parler de ma phase de tir...
Et là, ce fourbe d’Olivier profite que je m'avance tactiquement pour le charger, pour m'agresser sauvagement, ses deux phalanges de vils mercenaires se jettent sur les miennes telle telle une bourgeoise de sous-préfecture sur le commis de l'épicier lui faisant livraison hebdomadaire !
Et continuant à assombrir le ciel de leurs flèches, les infâmes Perses continuent à s'en prendre à la phalange de miliciens...
Ces pauvres nudistes auraient bien chié dans leur froc mais ils n'en avaient pas ! Et, malgré un SMS envoyé en urgence aux gardiens des oracles, mon général ne sut tenir leurs rangs, bien clairsemés il faut le dire, à leur... décharge .
A mon centre droit, mon Xénagos, Yvath Mètharass défie le Polémarque renégat... las, il a à peine fini de prononcer les paroles rituelles que sa tête vole dans les airs et que ses entrailles lui dégoulinent sur les sandales... les mercenaires que j'ai du mal à qualifier de Grecs, doivent être de proches cousins de ma phalange que j'ai du mal à qualifier d'élite, car les deux parties de troupiers rivalisent de lamentabilité... Je crame un max de points d'oracle, mais ne peut mettre en déroute mon adversaire.
L'autre combat m'est favorable, mais là encore, les renégats tiennent leur rangs.
Dernière édition par Cyrille (The boss !) le Sam 26 Avr 2014 - 12:10, édité 2 fois
Re: Du sang clair sur le sable chaud...
Alors qu'au fond de la table mes cavaliers sont chargés par l'infanterie qui les malmène (depuis le début monsieur l'arbitre, depuis l'début !) mes fondeurs embusqués dans les rochers font l'objet de la vindicte des Scythes et des javeliniers perses, et finissent par craquer...
Le Polémarque mercenaire et ses gars malmènent sérieusement la phalange du défunt Yvath Métarass qui serre les dents et les fesses. Mais celle d'Evlak Heujtedékrass met en fuite ses opposants, mais bon quand mes troupes se battent bien, elles courent mal...
Et c'est là que la chose devient palpitante, tellement que je n'ai pas pris les photos qui l'attestent..
Mes cavaliers chargent le flanc des Mardians, et la phalange d'Evlak Heujtedékrass engage les Immortels Perses.
Ethal Boukidépass rallie ses derniers culnustes et mes frondeurs, en sandwich entre les troupes légères d'Olivier se rallient aussi... Ah, ces Grecs...
Mes lamentables Crétois ('tain la gueule des archers d'élite de l'Antiquité... ) infligent trois blessures à la phalange en fuite, mais ces hoplites ninja, en une pirouette digne des acrobates du cirque de pékin, dans un mouvement graphique qui aurait ruiné le calbute au réalisateur des 300, se retournent pour arrêter les flèches en vol d'un magistral revers de bouclier...
Le sort des armes m'est légèrement favorable dans les combats, et je crame donc un max de points d'oracles pour assurer mon succès...
Las les Immortels tiennent sans soucis, et les Mardians se permettent le luxe de réussir un test de moral à 3 sans même utiliser la relance de la grande bannière !
Et c'est dans le tour d'Oliver, alors que sa phalange étrille la mienne, et qu'il rallie celle en fuite, que ses Mardians craquent, mais ma phalange subit le fer des immortels, et fuit avec iceux sur leurs fessards pommelés !
Je ne me souviens plus du calvaire du petit personnel...
Au final, mes vaillants cavaliers (ceux avec les casques à crêtes) chargent les arrières des Immortels, tandis que mon Général envoie sur le front ses derniers miliciens, qui, tant réduits par les flèches perses, ne peuvent même plus revendiquer appellation (ni les règles spéciales) de phalange.
Et mes deux derniers points d'oracle ne suffirent même pas à massacrer ces Immortels qui ce soir on mérité leur appellation d'origine contrôlée (ni à compenser la lamentabilité martiale de mon général) ...
Clou sur le gâteau, la phalange du défunt Yvath Metharass succombe sous les coups du Polémarque d'Olivier, mais ses survivants mettent brillamment en application la tactique du C.F.C. (Cours, Forest, cours !) si bien mise en pratique en 1940 par l'armée française.
Dans son dernier tour, Oliver envoie sa phalange sur le flanc de ma cavalerie, mes derniers miliciens succombent, mes Frondeurs sont cloués sur le sable pire que des papillons dans la vitrine d'un entomologiste de renom, et ma défaite est consommée comme les bières du frigo de la salle...
Mais nom de Zeus qu'est ce qu'on a bien rigolé !
Le Polémarque mercenaire et ses gars malmènent sérieusement la phalange du défunt Yvath Métarass qui serre les dents et les fesses. Mais celle d'Evlak Heujtedékrass met en fuite ses opposants, mais bon quand mes troupes se battent bien, elles courent mal...
Et c'est là que la chose devient palpitante, tellement que je n'ai pas pris les photos qui l'attestent..
Mes cavaliers chargent le flanc des Mardians, et la phalange d'Evlak Heujtedékrass engage les Immortels Perses.
Ethal Boukidépass rallie ses derniers culnustes et mes frondeurs, en sandwich entre les troupes légères d'Olivier se rallient aussi... Ah, ces Grecs...
Mes lamentables Crétois ('tain la gueule des archers d'élite de l'Antiquité... ) infligent trois blessures à la phalange en fuite, mais ces hoplites ninja, en une pirouette digne des acrobates du cirque de pékin, dans un mouvement graphique qui aurait ruiné le calbute au réalisateur des 300, se retournent pour arrêter les flèches en vol d'un magistral revers de bouclier...
Le sort des armes m'est légèrement favorable dans les combats, et je crame donc un max de points d'oracles pour assurer mon succès...
Las les Immortels tiennent sans soucis, et les Mardians se permettent le luxe de réussir un test de moral à 3 sans même utiliser la relance de la grande bannière !
Et c'est dans le tour d'Oliver, alors que sa phalange étrille la mienne, et qu'il rallie celle en fuite, que ses Mardians craquent, mais ma phalange subit le fer des immortels, et fuit avec iceux sur leurs fessards pommelés !
Je ne me souviens plus du calvaire du petit personnel...
Au final, mes vaillants cavaliers (ceux avec les casques à crêtes) chargent les arrières des Immortels, tandis que mon Général envoie sur le front ses derniers miliciens, qui, tant réduits par les flèches perses, ne peuvent même plus revendiquer appellation (ni les règles spéciales) de phalange.
Et mes deux derniers points d'oracle ne suffirent même pas à massacrer ces Immortels qui ce soir on mérité leur appellation d'origine contrôlée (ni à compenser la lamentabilité martiale de mon général) ...
Clou sur le gâteau, la phalange du défunt Yvath Metharass succombe sous les coups du Polémarque d'Olivier, mais ses survivants mettent brillamment en application la tactique du C.F.C. (Cours, Forest, cours !) si bien mise en pratique en 1940 par l'armée française.
Dans son dernier tour, Oliver envoie sa phalange sur le flanc de ma cavalerie, mes derniers miliciens succombent, mes Frondeurs sont cloués sur le sable pire que des papillons dans la vitrine d'un entomologiste de renom, et ma défaite est consommée comme les bières du frigo de la salle...
Mais nom de Zeus qu'est ce qu'on a bien rigolé !
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