La vermine Skavens submergera t-elle l'OST étincellant?

Petite bataille hier soir à 3000 points entre votre rapporteur et Max.

Notre joyeux commandeur Maetions, désormais surnommer Perce Poitrine depuis le malheureux accident de Varguhlf a connu une enfance difficile. Voici son histoire .... (tadaaaam).
L'un de ses premiers ordre de mission fut d'aller, à la tête d'une brigade de la garde maritime, chercher une puissant artefact dans les ruines d'une ville de Tilée.
Etant un peu jeune et fougueux, il cru que sa bravoure et la présence de deux régiments de maîtres des épées permettrait de régler promptement l'affaire.
Il aurait du écouter les conseils de son vieil Ami l'archimage !
Car la ville était en fait située au dessus d'un terrier de Skavens... c'est d'ailleurs par leur faute que là où se dressait autrefois une prospère ville de marchand, il ne reste désormais que des ruines éparses.

Notre impétueux général ignorait tout de cela, mais pire encore, il ignorait tout du potentiel destructeur de la menace Skavens.
résultat des courses: par l'odeur des richesses alléchée ( mais aussi par amour de la violence et surement par les coups de lances dans leur derrière) la horde hirsute skavens se trouve un beau jour face aux dignes lignes Elfiques.
(malgré un jet sur les scenario, nous avons eu droit à la bataille rangée)



Une fois toute l'armée déployée et les étendards fièrement brandit, notre général, sur son capricieux mais féroce griffon, va faire le bonheur des skavens en se postant face à une énorme roue. Son conducteur frétillait d’excitation, au vu de ses petits couinement intempestifs, à l'idée de ce combat.
Face au général se trouve une forte partie de rat équipés d'énorme fusil à malepièrre. N'écoutant que sa vaillance, alors qu'il aurait du écouter sa sagesse, il décide de piquer sur ces créatures infâmes, soutenu par un grand aigle. La salve de contre charge le blesse, ainsi que son griffon. mais la présence de toutes ces bêtes monstrueuses suffit à mettre la troupe en panique.
"Victoire" songeait il, las, il se trouvait sur le chemin de la roue infernale


A peine remit de l'excitation du combat, la roue vient s'encastrer sur son griffon. Notre malheureux général, voit alors sa cape se coincer dans le rouage de cette machine construite par un esprit malade, ce qui ne manque pas de l’entraîner sous les roues où son corps sera broyé dans un affreux son d'os brisés (et d'hurlements assez stridents, il faut bien l'avouer!).
Pris de colère, le griffon passe ses nerfs sur la roue. ce n'est que l'arrivée des heaumes d'argent qui mettra fin à la plaisanterie en détruisant cet engin de malheur.


Sur le flanc gauche des elfes (photos ci dessous), un drame allait se jouer.
Une horde de rat pesteux frénétiques, dirigée par un de leur leader à la fourrure clairsemée venait foutre sa merde !
Comme nous l'avons dit, le général n'était plus, et son armée manquait de connaissance de la vermine pour bien appréhender le danger de la situation.

Pendant ce temps les vent de magie furent contenus. l'archimage imposant sa loi de la dissipation, tandis que les maitres des épées passaient leur temps à bénéficier gentillement du soutient de la magie de la bête.



Les deux lignes de bataillent approchent l'une de l'autre.
Les Skavens possédaient des armes puissantes, mais assez impressives, voir dangereuses pour  leur porteur, tandis que les elfes bénéficiaient d'une nuée de traits peu puissants mais précis. Saluons toutefois l'aurige d'un des chars dont la flèche s'est plantée dans l'oeil gauche du verminarque... cela explique sans doute que chaque tour il a raté un sort ou fait un fiasco.
Il apparu rapidement à tous, que de chaque côté, le flanc droit était le plus puissant et semblait destiné à envelopper la ligne de bataille adverse.

Après de nombreux échanges de tirs sans intérêt stragique notable : un régiment de patrouilleurs a pris cher, et le régiment de rat ogre a pris sa race -3 morts+les maitres-, après également des pets magiques foireux qui n'ont impressionnés personne (si ce n'est les Maitres qui ont vu 8 des leurs emportés par la peste malgré la bannière les immunisant presque à la magie, ils auraient pu fuir face à coup du destin, mais le double As nous prouve qu'au dela d'un mouvement interrogatif du sourcil, ils n'eurent pas plus de doute que cela. Mieux : le reflux magique a emporté la moitié de la horde de rats qui traînait à proximité !)

Nous arrivons maintenant aux éléments déterminants.
Tout d'abord, la charge héroique des maitres des épées du centre sur les guerriers des clans. ce fut un véritable hachoir à viandes de rats.
Las, une fois la menace de ces rats dissipée, les braves Asur ont fondu directement sur les vermines de choc. Seulement les vermines de choc n'étaient pas venu seules, elles étaient accompagnées de leur général et d'un assassin. Apres des combats furieux (mais courts), les nobles guerriers tombèrent au champs d'honneur jusqu'au dernier. A défaut de la vie, l'honneur était sauf !


Leurs homologues du flanc gauche elfique avaient une lourde responsabilité : tenir le flanc faible et repousser les moines de la peste.... tiendraient-ils ?
Apres toute la tension de la journée, les nerfs commençaient à lâcher, même pour ces êtres attendant de justifier leur entrainement millénaire.
Les elfes ne furent malheureusement pas décisifs au combat, tandis que les moines faisaient preuve d'une frénésie destructrice louable.
Apres deux corps à corps acharnés, les maitres des épées tombèrent jusqu'au dernier. Il aurait été inconvenance d'en faire moins que leurs collègues du centre !


Comme un malheur n'arrive jamais seul, les coureurs d'égout skavens sortent sous les pieds des balistes, foutant un gros bazar dans le centre de la ligne de bataille.
Le char à lions blanc qui les attendait depuis le début de la bataille était malheureusement en mauvaise position pour les intercepter promptement.
Les gardes maritimes avec une poignée d'archers durent se positionner pour réceptionner tout le flanc droit skavens libéré depuis la disparition des braves guerriers de Saphery.
Un coup d'arme magique vient subitement faire disparaître les 2/3 des archers, qui, encore assez innocents des horreurs de la guerre, décidèrent qu'ils en avaient trop vu pour une journée. Les gardes furent donc assaillie de face par les moines et de flancs par les coureurs.
Après une belle boucherie, si tous les moines furent occis, les gardes décidèrent de prendre jambe à leur coup, emmenant l'archimage dans la confusion. Décidément, c'était la journée des initiatives spontanées... quand on vous dit que la discipline d’antan se perd !

Conscient que le sort de la bataille leur échappait, les heaumes jetèrent leur va tout et chargèrent les vermines de choc. Ce fut une beau, mais ce fut aussi et surtout une idée funeste !

Face à ce situation, le flanc droit elfique, decida de se positionner pour un rempli stratégique. Cette incursion mal maîtrisée avait fait suffisamment de victimes !
(tour 3 - domination elfique, tour 4 - nul, tour 5 victoire majeure skaven)

en évacuant le théâtre du conflit, un bruit interpella les gardes maritimes sur le repli. Le griffon de leur général continuait de gratter le sol à la recherche de la dépouille inanimée de Maetions.
Dans le doute, les gardes maritimes l’emmenèrent pour une cérémonie mortuaire digne de son rang.
Ce n'est qu'une fois dans le campement que l'archimage découvri qu'il pouvait être sauvé. Après une semaine à reposer dans un bassin enchanté d'huile essentiel elfique qu'il pu retrouver sa place.
L’archimage chercha à percer les voies du destin... ce commandeur, son ami, était-il destiné à la malchance, ou au contraire sa capacité à survivre à l'adversité le destinait à la grandeur...

Excellent Mathieu !
Merci de prendre le relais quand je suis pas là
Mais je déplace ton RdB dans la bonne rubrique (non mais qui c'est le boss ici